Concernant le Chery Arrizo 5 GT, mon sens esthétique extérieur est assez limité ; j’apprécie ses phares acérés et ses sorties d’échappement décoratives, même si la face avant divise les opinions. À l’intérieur, on trouve des ceintures de sécurité orange (que je n’affectionne guère), un petit écran orienté vers le conducteur (difficile à utiliser pour les passagers) et un panneau de climatisation tactile (que je n’apprécie pas). Le compartiment de l’accoudoir est équipé de bouches d’aération pour rafraîchir les boissons, mais les ports USB avant sont dissimulés derrière un panneau qui ne peut être fermé lorsqu’il est utilisé.
Côté équipements, elle possède les options attendues comme le siège conducteur à réglage électrique, la caméra à 360°, le régulateur de vitesse et les rétroviseurs chauffants et rabattables électriquement, mais elle est dépourvue de caméra embarquée (j'en ai reçu une en cadeau). L'espace est correct : avec un empattement de 2 670 mm, je mesure 1,72 m et j'ai largement assez de place pour les jambes à l'arrière.
Le moteur 1.5T (156 ch) est un atout majeur : le turbo se déclenche à 1 750 tr/min, offrant des accélérations franches, même si la consommation est supérieure à celle de la version 1.6T Kunpeng (mais elle est près de 20 000 roupies moins chère). Le bruit est assez fort sur les routes accidentées, mais même une musique à faible volume reste confortable. La suspension est ferme et les irrégularités de la route se font sentir.
Globalement, elle répond à mes besoins grâce à ses fonctionnalités satisfaisantes. Même si je ne suis pas fan de la transmission CVT, pour un prix tout compris de 87 000 €, difficile de se plaindre.